Sunday, November 09, 2008

Counter-Culture Shock

Pleurer d’horreur parce que tellement de gens ici, gâtés (avec une belle marmaille d’enfants en santé, une grosse maison avec du terrain, une voiture ou deux dans l’entrée de garage, pis une vie heureuse en perspective ben non…) se prennent la tête dans leurs misères (de dettes).
Moi, j’accroche mon sourire avec des pinces à linge. Une chance que j’ai de l’imagination (et de bons amis, et du tango, et mon chien Pirelli, et une famille pas achalée, avec mes projets d’écritures et ma manie de cuisiner) parce que sinon je croirais que ma déchéance de retour dans mon pays natal est dû au fait que je ne sois pas miséreuse.